De chirurgien à sous-citoyen, comment j’ai gardé mes libertés de choix et d’actions

J’exerce à l’hôpital ce beau métier de chirurgien orthopédique et traumatologique. Entre les activités de chirurgies programmées et les urgences, je passe 80h/par semaine au sein de l’établissement.
Année après année, je constate la réduction des effectifs et la fermeture des lits sans en comprendre les raisons.
Et puis arrive la crise Covid 19. Toutes les interventions réglées sont déprogrammées sans date de report. Alors que la population se retrouve enfermée, mon activité aux urgences, elle, ne s’arrête jamais !
Comme par magie, le gouvernement finance cette mise à l’arrêt de la société par centaines de milliards d’euros.
D’où vient cet argent ?
Où était-il lors des réductions budgétaires, des fermetures de services, de la fuite progressive de nombreux Professeurs de médecine de nos hôpitaux publics ?
Savez-vous que plus de 5700 lits d’hospitalisation complète ont été fermés durant la crise sanitaire la plus dangereuse de l’histoire ?


Nous avons tous été bouleversés par cette crise.
De mon côté, j’ai voulu comprendre :
Bien qu’anodines, ces questions en amènent de nombreuses autres…
Si j’ai découvert les cryptomonnaies depuis la fin de l’année 2019, honnêtement, à cette époque, je n’y comprenais rien. C’était un petit pari hautement spéculatif sur un actif de nature indéterminée.
De toute façon, ma vie, mes revenus, c’était la chirurgie.
C’est en étudiant l’écosystème du Bitcoin que j’ai trouvé mes réponses.
Avec l’éclosion d’une toute nouvelle classe d’actif, les Crypto-Monnaies, je réalise très vite qu’adopter ces nouveaux outils monétaires associés à la finance décentralisée (DeFi) conduirait vers davantage de libertés individuelles et servirait le bien commun.
Ce besoin s’imposera à moi plus vite que prévu.
En tant que médecin exerçant dans un hôpital public, je continue de vivre la crise covid de “l’intérieur”. Je constate très vite les décisions politiques abusives qui outrepassent les enjeux sanitaires.
Écœuré et révolté, je ressens l’obligation éthique et morale de dénoncer ces excès en refusant de cautionner le port généralisé du masque (encore moins pour nos enfants) et les traitements expérimentaux, mis en place sous la contrainte.
Forcer le consentement dans la prise d’une thérapeutique expérimentale est tout simplement contraire au code de Nuremberg de 1947 ou plus récemment à la déclaration d’Helsinki de l’association médicale mondiale !
Le 15 septembre 2021, je fais partie des soignants suspendus.
Le contrôle sur nos droits et libertés se confirme.
À 35 ans, je raccroche la blouse, le bistouri et une carrière prometteuse qui m’assurerait un futur confortable et sécurisé.
Sans recours possible ni de millions en épargne ou en crypto, je redistribue les cartes pour m’adapter aux nouvelles règles du jeu qui me sont imposées.
Mes économies de jeune chirurgien ne suffisent pas à mettre à l’abri ma famille.
Face à l’urgence et le danger pécuniaire à venir, je décide de consacrer mon temps au monde sulfureux des cryptomonnaies.
C’est au sein de la finance décentralisée (que j’expérimente depuis le premier “boom” de l’été 2020) que je perçois des solutions pour résister, garder mes libertés d’actions, voire croître.
Je place la plus grande partie de mon épargne dans la DeFi.
Cette prise de risque s’est avérée être salvatrice !
Après plus de 2 ans sans salaire ?
Je suis toujours là, rescapé de cette période difficile.
Aujourd’hui, le fruit de mes investissements en finance décentralisée continue de subvenir aux besoins de ma famille dans une nouvelle vie, hors de France.
Cette nouvelle épargne m’offre le bien le plus précieux sur Terre, du temps !
J’en profite pour approfondir mes nouvelles compétences et déterminer quel sera mon avenir.
Je me concocte un cocktail explosif de savoir et de pratique pour garder cette liberté d’action et de choix de vie.

C’est ainsi que je comprends les dessous des économies étatiques et réalise l’urgence de la situation en occident.
Depuis l’arrivée du Bitcoin, toutes ces informations se diffusent de plus en plus et sont d’utilité publique.
Toujours privé de mon droit d’exercer la chirurgie, je décide de transmettre et diffuser mes connaissances sur la monnaie à ceux qui comme moi il y a 3 ans, cherchent à comprendre et à trouver des solutions pour être plus résilients face à des autorités liberticides.
Si l’information remplace mon bloc opératoire, mon engagement à aider les gens à augmenter leurs libertés fondamentales est plus fort que jamais.
L’épargne est le fruit du travail d’hier, la capacité d’investissement et de développement de demain.
C’est pourquoi je souhaite vous aider à protéger votre épargne qui un jour peut-être vous sauvera aussi.
Laurent Blasco